Ciné-club Séoul

2020-2021, Bilan du ciné-club

Pascal Belmas, mars 2022

Voilà maintenant presque un an et demi que le Ciné-club du Collectif Eco-Solidaire a vu le jour dans l’espace Kote, au soir du 30 octobre 2020 à Insadong. Difficile d’imaginer alors l’impact qu’allait avoir l’apparition d’un nouveau virus sur cette nouvelle aventure pour le Collectif. 

Le projet de «  montrer le monde au monde » à travers des films chaque fin de mois, tout en essayant d’avoir de la cohérence dans nos choix par rapport aux valeurs que porte le Collectif, a bien sûr été mis à mal durant cette interminable période de crise sanitaire, nous obligeant à plusieurs reprises à mettre en parenthèse nos désirs cinéphiles. Malgré tout, le ciné-club a traversé cette période difficile pour tout le monde en pliant quand il le fallait, mais sans jamais céder, offrant quelques très belles soirées de cinéma et de partage, parfois dans l’intimité, d’autre fois avec un certain succès. Voici ce qu’il en est : 

Le ciné-club

organisé par Pascal

En chiffres, 2020-2021

13 séances
27 films et courts métrages

Octobre 2020

En préambule de cette première séance du ciné-club, j’avais lu un mot écrit par Bertrand Tavernier en 2008 à l’attention de tous les ciné-clubs de France, afin de montrer le chemin que nous voulions tracer avec ce projet.

« Qu’est-ce qu’un ciné-club ? : un lieu de rencontre, un lieu où l’on découvre ensemble des œuvres qui reprennent l’idée qui fut celle des frères Lumière : Montrer le monde au monde.
Un lieu de partage pour tous ceux qui croient, comme le correspondant de la Poste, le 30 décembre 1895, après avoir assisté à la première séance du Cinématographe, qu’ “avec l’image du mouvement, la mort cessera d’être absolue”. Qu’il faut absolument apprendre à déchiffrer, trier, interpréter les millions d’images qui nous assaillent et dont la plupart sont dépourvues de sens.
Face aux dangers qui nous menacent, les dictatures de l’intégrisme, de l’ultra libéralisme, de l’ignorance surtout, je me tue à répéter que les films sont des boucliers. Comme toutes les œuvres d’art, ce sont des armes de construction massive. Et c’est au ciné-club qu’on apprend, entre autres, à s’en servir.
Qu’est-ce qu’un spectateur passif ? : Rien.
Qu’est-ce qu’un spectateur curieux ? : Tout.
C’est pourquoi je vous envois ce message amical en vous demandant de continuer à faire vivre nos rêves et à les projeter comme nous les avions rêvés. »
Bertrand Tavernier
Paris, le 25 janvier 2008

Afin de rendre ces rencontres plus vivantes et de prolonger le plaisir, nous avons autant que possible présenté à chaque séance du Ciné-club un court métrage en première partie de soirée, tout en essayant de prendre le temps de discuter ensemble en fin de projection, voire de débattre autour des films présentés et de ce qu’ils disent du monde.

Affiche film Des Nouilles aux haricots noirs | Ciné-club du Collectif Éco-Solidaire

Pour cette première rencontre cinématographique, le choix s’est porté sur le court métrage brésilien de Jorge Furtado, L’ile aux Fleurs, datant de 1989, avant de projeter le long métrage de Lee Hae-jun, Des nouilles aux haricots noirs, sorti en 2009. Les deux films ayant en commun de témoigner de manière insolite du gâchis humain et matériel dans nos sociétés avec 20 ans d’intervalle.
Kimssi pyoryugi (김씨 표류기) de son vrai nom, est un film assez unique dans le paysage du cinéma coréen. Dans sa forme, parce que le film, très marqué visuellement, regorge d’idées de mises en scène surprenantes afin de tout faire passer par l’image à la manière du cinéma burlesque. Et dans le fond, de par certains sujets abordés comme rarement dans le cinéma coréen, tels que l’hyper consommation, les questions environnementales et surtout l’aliénation des hommes et des femmes dans nos sociétés.

Pour en savoir plus : Des nouilles aux haricots noirs.

Novembre 2020

Notre deuxième programmation fut dédiée au continent Africain à travers deux documentaires : Les Statues meurent aussi, un court métrage co-réalisé par Chris Marker, Alain Resnais et Ghislain Choquet, suivi de Talking about Trees du jeune cinéaste soudanais Suhaib Gasmelbari.

Avec le court métrage Les Statues meurent aussi, nous avons proposé un premier regard extérieur porté sur l’Afrique et sa culture, mais aussi un regard sur notre façon de voir l’autre. Le film était à l’origine une commande de la revue Présence Africaine en 1953 afin de répondre à la question : qu’est-ce que « l’art nègre » ? À travers les collections du Musée de l’Homme. Mais Marker et Resnais, plutôt que de répondre à un tel mystère, se posèrent une autre question : pourquoi l’art nègre se trouve-t-il au Musée de l’Homme, tandis que les Arts grecs ou égyptiens s’exposent au Musée du Louvre ? Il était alors inconcevable, dans une France empêtrée entre deux guerres de décolonisation (guerre d’Indochine et d’Algérie), de considérer que les divers peuples d’Afrique soient à même de réaliser un art au sens occidental du terme. C’est ainsi que Resnais et Marker donnèrent une direction farouchement anticoloniale à leur film de commande, dénonçant le déni de l’occident envers l’art africain, ainsi que les ravages du colonialisme sur la richesse des créations spécifiques à chaque contexte et peuple d’Afrique. Ou comment des objets authentiques liés à l’intime et la magie devinrent à nos yeux des objets de curiosité, voire de vulgaires produits mercantiles. Ce qui empêche une statue de mourir c’est la mémoire des messages dont elle est porteuse.

Talking about Trees, le deuxième film présenté ce soir-là nous a conduits jusqu’au Soudan, un pays où aller au cinéma, avant le coup d’état militaire du 30 juin 1989, était plus populaire que d’aller voir un match de foot, un pays littéralement fou de cinéma. Mais après la prise du pouvoir par le général Omar Al Bashir, les salles obscures le restèrent indéfiniment. Khartoum devint peu à peu ville morte à partir de six heures et le Soudan un désert culturel, tandis que toute une génération grandit sans lecture ni cinéma. Talking About Trees raconte l’histoire de quatre amis anciens cinéastes qui parcourent le pays pour projeter des films en évitant la censure du pouvoir. Leur histoire est une merveilleuse déclaration d’amour au cinéma, et montre tout le courage et la passion de quatre vieux résistants à l’élégance folle. Le film n’est pas un documentaire sur l’histoire du cinéma soudanais, mais sur la passion qui anime les hommes du présent, des hommes qui gardent secrètement en eux, à défaut de ne pouvoir les partager, d’innombrables désirs d’images. Le titre du film fait ainsi référence à la tension et le conflit intérieurs à l’intérieur de chaque artiste au Soudan, ou dans toute autre situation d’oppression, dans laquelle on se demande s’il est toujours légitime de parler de cinéma et d’art.

Décembre 2020

Au mois de décembre, la séance du ciné-club prit un peu d’avance sur le calendrier afin de ne pas encombrer un peu plus l’agenda des fêtes de fin d’année. Ainsi, nous nous sommes donné rendez-vous samedi 19 décembre pour une soirée intitulée «Histoires d’immigrés»: trois histoires autour de l’immigration en France et à travers le temps ont ainsi été projetées sur l’écran de Kote Café, racontant un peu de ce que peuvent être amenés à vivre les hommes, les femmes et les enfants obligés de quitter leurs pays, non pas par plaisir, mais par nécessité, à travers les traits de Toni en 1935, Mohamed en 1971 et Aïssa en 2014. Dans l’ordre de la projection : Les Ajoncs de René Vautier, Aïssa de Clément Tréhin-Lalanne, puis le merveilleux Toni de Jean Renoir, film connu pour être précurseur du néo-réalisme italien et accompagné ce soir-là de sous titres en coréen.

Janvier 2021Ciné-club Selfies & Playtime | Collectif Eco-Solidaire Corée Taïwan

En janvier, en plein hiver et devant faire avec les codes imposés par la situation sanitaire, nous avons proposé une soirée distanciation au cinéma, espérant apporter un peu de légèreté aux spectateurs. Distanciation avec l’autre, son environnement et le présent vécu, avec pour commencer le court métrage d’animation sans paroles Selfies du cinéaste suisse Claudius Gentinetta. Le réalisateur qui dit de lui-même qu’il est d’une génération qui se définit par « je pense donc je suis », voit la génération de ses enfants par « je fais un selfie, donc je suis », ce qui change quelques perspectives. Et parce qu’il se dit très concerné par la dépendance du téléphone et du net chez les jeunes générations, il a essayé de faire un film éducatif en utilisant des images provocantes pour créer un débat autour de questions telles que « que peut-on montrer de sois et partager ? »

Il fut question ensuite d’une variation sur la distanciation entre l’humain et les objets du progrès ou distanciation envers le réel ; avec le chef-d’œuvre de Jacques Tati, Playtime, sous-titré pour l’occasion en coréen. Playtime ayant la particularité de demander à être vu sous divers angles et à différentes distances de l’écran, nous avions pour l’occasion encouragé les spectateurs à changer de place durant la séance s’ils le désiraient et quand ils le souhaitaient.

Playtime est conçu comme une gigantesque toile sur laquelle Jacques Tati expose son affection pour l’humanité en même temps que ses craintes concernant la vie moderne et la technologie. Et il fait ça avec un humour minimaliste, mais à une échelle maximaliste, avec ce qu’il faut de pas de côté, et de poésie. La magie de Playtime réside dans le fait de nous amener à regarder un monde ressemblant à un centre commercial stérile et d’y découvrir un éventail infini de petites choses éphémères reflétant notre caractère et notre nature, alors que ce monde aseptisé suggère l’inverse. De cette manière, nous sommes à la fois spectateurs et interprètes de Playtime.

Février 2021Ciné-club Court-métrages Collectif Eco-Solidaire Corée Taïwan

Premier beau succès que cette soirée spéciale court-métrage autour de la mémoire . Avec un programme ambitieux et pour la première fois la participation du cinéaste théoricien du cinéma expérimental Pip Chodorov, venu présenter les films de Varda et Marker.

Au programme de cette très belle soirée : Le Chant du Styrène d’Alain Resnais, L’Amour existe de Maurice Pialat, Ulysse d’Agnès Varda, Une histoire d’eau de Jean-Luc Godard et François Truffaut et La Jetée de Chris Marker.

En réalisant ces films sur la mémoire : mémoire de la matière, mémoire intime, mémoire politique ou mémoire sociale, les auteurs cités sont allés à la rencontre du réel tout en restant fidèles à leurs exigences artistiques. Je pense en particulier aux films de Resnais, Pialat et Marker, dont les œuvres présentées à cette soirée spéciale court-métrage font entièrement partie de la mémoire du cinéma moderne. Ces films montrent que le format du court-métrage est un espace de création où il est possible de faire du monde réel le fruit d’un imaginaire sans limites.

Mars 2021Ciné-club Madame B | Collectif Eco-Solidaire Corée Taïwan

Dans le cadre de la sixième édition du ciné-club du Collectif Eco-Solidaire, nous avons invité le réalisateur coréen Jero Yun afin de présenter son film documentaire Madame B. histoire d’une Nord-Coréenne, ainsi qu’en en première partie de soirée son court-métrage Promesse, dans lequel le cinéaste filme le quotidien d’une émigrante sino-coréenne en France. Film qui marque pour Jero Yun le point de départ d’une œuvre cohérente hantée par les thèmes de la séparation.

En deuxième partie de soirée, nous avons pu voir en compagnie de Jero son long métrage Madame B. Un film, loin des clichés sur les réfugiés nord-coréens, faisant le portrait d’une femme d’une force de caractère hors du commun, qui j’en suis sur a continué à accompagner les pensées des spectateurs longtemps après la projection ainsi que les discussions entre le public et le réalisateur, resté longtemps après la séance pour échanger avec tous.

Pour en savoir plus : Madame B. histoire d’une Nord-Coréenne

Avril 2021Cine club avril Les pieds dans l'eau | Collectif Eco-Solidaire Corée Taïwan

Avec l’arrivée du printemps l’équipe du Ciné-club du Collectif Eco-Solidaire prit le parti de se la couler douce, les pieds dans l’eau entre les rives du Loing et les étangs de Cergy, en projetant Partie de campagne de Jean Renoir et L‘île au trésor de Guillaume Brac. Deux films qui s’inscrivent naturellement dans la mémoire d’un certain cinéma français, celui qui privilégie la légèreté technique et l’idée que la liberté nécessaire pour faire son cinéma ne peut être corrompue. Deux films à la recherche de nos utopies personnelles et collectives, entre promesses de congés payés sous le front populaire et cet étonnant espace liberté d’une « banlieue sans la banlieue », spectateurs d’un bonheur illustré par les impressionnistes, à travers des scènes de pique-nique aux bords de l’eau et balades en canot (aujourd’hui en pédalo), au cours d’une journée d’été qu’on voudrait ne jamais voir finir.

Mai 2021Ciné-club mai | Collectif Eco-Solidaire Corée Taïwan

À quelques jours de la commémoration du massacre de Gwangju, le 18 mai 1980, nous avons consacré la séance du ciné-club du mois de mai à la répression sanglante du soulèvement avec le film A Petal, du mythique réalisateur Jang Sun-woo. Exceptionnellement, un seul film au programme, de manière à ce que nous prenions le temps nécessaire pour discuter ensemble, non seulement du film, mais aussi du contexte social et politique de la Corée du Sud à cette époque-là, en compagnie de Kyoung-hee Cho qui nous fit l’amitié de venir présenter le film et de répondre aux nombreuses questions. Ce fut un vrai bonheur d’échanger avec Kyoung-hee, qui n’est pas moins que docteur en cinéma de l’université Sorbonne Nouvelle Paris 3 et dont la thèse intitulée Le cinéma ouvert est précisément consacré à Jang Sun-woo. Il était important d’accompagner le film d’un avis expert, A Petal pouvant être ressenti comme très dérangeant et qui n’a pas fini de diviser, bien loin de la légèreté du plus récent de Taxi Driver de Jang Hoon, film racontant les mêmes événements. Tout au long du film, le spectateur n’est en effet pas épargné par la violence du propos. Et si le film franchit certaines limites, c’est parce que c’est un film a la passion brute, un film viscéral capable de faire ressentir le poids de ce qui s’est passé ce jour du 18 mai pendant le soulèvement et la répression de Gwangju.

Pour en savoir plus : A petal

Juin 2021Ciné club juin 2021 | Collectif Eco-Solidaire Corée Taïwan

Pour la 9e édition du ciné-club du Collectif Eco-Solidaire, nous avons pris un léger virage pour retrouver Pip Chodorov sur un chemin de travers où gravite le monde étrange et passionnant du cinéma expérimental, avec son film documentaire Free Radicals, Une histoire du cinéma expérimentale.

C’est assez naturellement que le cinéma expérimental et notre ciné-club se rencontrèrent, sachant que l’histoire des ciné-clubs, commencée le 14 novembre 1921 avec la projection du Cabinet du docteur Caligaride Robert Wiene, étant intimement liée au début du cinéma expérimental. Il faut savoir que les années 20 furent témoin d’un invraisemblable foisonnement créatif et expérimental de l’art cinématographique, animé par différents mouvements avant-gardistes, comme l’avant-garde allemande, les dadaïstes (Duchamp, Richter, Tzara), les surréalistes (Man Ray, Dulac, Artaud et plus tard Buñuel, Dali et même Cocteau), enfin, l’avant-garde picturale (Eggeling, Duchamp, Man Ray, Richter, Léger, Kandinsky).  Et ce sont les ciné-clubs qui ont été parmi les premiers à montrer ces cinémas en totale opposition au théâtre filmé, en tout cas un cinéma essentiellement de divertissement, encore apparenté à un amusement lié au cirque.

Novembre 2021Ciné-club novembre 2021 | Collectif Eco-solidaire Corée Taïwan

Par solidarité pour Kote et toute son équipe en proie à de graves problèmes, et qui depuis la création du ciné-club nous a accueilli sans aucune compensation, nous avons repris notre ciné-club après une trop longue parenthèse du au Corona 19, à l’emplacement occupé pour empêcher sa démolition. L’occasion était belle de rejoindre pour un soir cette expérience collective et solidaire tout en se replongeant dans le cinéma français des années trente, porté par un souffle de contestation et de liberté inédit jusqu’alors au cinéma. Ainsi nous avons vue ou revue Zéro de Conduite de Jean Vigo sorti en 1933 et Le Crime de Monsieur Lange de Jean Renoir en 1936, deux des films les plus emblématiques de l’atmosphère houleuse de cette période, considérés comme étant deux œuvres réalisées à la gloire de la désobéissance. Les deux films montrent de manières inspirée et avec une même poésie, la soif de changement éprouvée par la jeunesse et les milieux populaires plus généralement, contre un monde injuste et rigide. Quand Zéro de Conduite, interdit à sa sortie, exprime cette révolte en montrant la rébellion spontanée de jeunes pensionnaires d’un internat, le film que tourne Renoir entre la tentative du coup d’État par l’extrême droite en France et les élections présidentielles propulsant le Front populaire au pouvoir, propose une vision chaleureuse et utopique du monde du travail, qui reste encore aujourd’hui rafraîchissante. Le Crime de Monsieur Lange est l’un des plus beaux exemples chez Renoir de la manière incomparable qu’il avait de réaliser un cinéma populaire en restituant mieux que personne l’air de son temps, tout en s’accomplissant artistiquement.

Janvier 2022Soylent green | Ciné-club janvier 2022 | Collectif Eco-Solidaire Corée Taïwan

Pour commencer l’année 2022 dans la joie et la bonne humeur, le Ciné-Club s’est lancé dans une programmation spéciale « dystopie » avec le film d’anticipation culte de Richard Fleischer, Soleil Vert. Pas peu fier, j’ai eu également le plaisir de montrer en première partie le court métrage Paradisland réalisé par le collectif Clouds Attempt, dont mon fils Theo Belmas Kaberry, présent ce soir-là, en était le chef opérateur.

Soleil vert, sorti en salle en 1973, présente une dystopie environnementale et sociale, supposant se passer en 2022. Le film décrit un monde où le réchauffement de la planète extrême provoque des dérèglements en chaîne ; canicule sans fin, la mort des océans, l’épuisement des ressources naturelles, etc. Dans un monde déjà surpeuplé, ces dérèglements ont de graves conséquences sociales, entraînant des pénuries, une forte pauvreté ainsi qu’une augmentation des inégalités.

Voir ou revoir aujourd’hui Soleil vert censé se dérouler en 2022, n’avait pas pour but d’accentuer en ce début d’année ce sentiment anxiogène qui fait désormais notre quotidien – nous sommes encore loin de la dystopie que le film représente – mais il est toujours utile et intéressant de se rappeler justement ce que l’on veut éviter et quels sont les enjeux environnementaux en ce début d’année 2022.

Ciné-club jeunesse

Enfin, en parallèle d’autres éventements, nous avons également ouvert au cours de l’année passée notre ciné-club à un public plus jeune, avec les films Ma vie de Courgette, Le Roi et l’Oiseau, La prophétie des Grenouilles et Les Triplettes de Belleville.

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